Comment passer d’entrepreneuse multi-casquette à tradeuse financée et disciplinée ? Dans cet article, je te partage le témoignage de Déborah, une élève de l’école Objectif Trading au parcours aussi inspirant qu’authentique.

🧭 Une reconversion pleine de sens

Je te présente Déborah. Originaire du Brésil, installée en France depuis 1999, elle a eu plusieurs vies : informaticienne, restauratrice, gérante de pizzeria, e-commerçante, et aujourd’hui… tradeuse. Son parcours est marqué par la résilience et une quête de liberté.

Ce qu’elle cherchait ? Un métier indépendant, flexible, qui ne dépend pas d’un lieu physique. Comme elle le dit elle-même :

« Je voulais pouvoir travailler de n’importe où, sans dépendre de salariés, de fonds de commerce ou de charges trop lourdes. »

Et c’est exactement ce qu’elle a trouvé dans le trading.


📉 La première claque : apprendre à perdre

Déborah n’a pas commencé le trading avec Objectif Trading. Avant d’intégrer notre école, elle avait déjà investi son propre argent dans une formation brésilienne… et perdu beaucoup. Mais c’est justement cette perte qui lui a permis de comprendre une chose essentielle :

« J’ai appris à perdre… sans vouloir tuer tout le monde autour. »

Son message est fort : perdre fait partie du métier. Ce n’est pas la technique qui est difficile, c’est la gestion des émotions. C’est ce qu’on travaille en profondeur dans notre école : devenir neutre face aux gains comme aux pertes.


💡 “Le plus dur, c’est pas la technique”

Aujourd’hui, Déborah le dit clairement :

« Techniquement, je suis forte. Ce que je dois encore travailler, c’est la discipline, le respect du temps de trading, la concentration. »

Et c’est là que beaucoup de traders se plantent. Trader pendant qu’on travaille ? Mauvaise idée. Multitâche devant les écrans ? Encore pire. C’est comme ça qu’on crée de mauvaises habitudes, qu’on trade “n’importe comment” et qu’on déraille émotionnellement.


🎯 2 heures par jour, pas plus !

Déborah a entendu ce conseil dès le premier jour de sa formation : trader deux heures par jour maximum, toujours aux mêmes horaires.
Mais au début, comme beaucoup d’élèves, elle voulait tout voir, tout comprendre, tout trader.

Aujourd’hui, elle comprend l’importance d’un cadre strict :

  • Choisir une seule plage horaire (8h-10h dans son cas),

  • Trader toujours le même actif (le MES),

  • Et surtout, faire des journées “no-trade” quand le marché n’est pas lisible.

“Je commence à réussir à ne pas trader tous les jours. C’est un gros progrès pour moi.”


💪 Premier challenge validé, mais ce n’est que le début

Déborah vient de valider son tout premier compte chez une prop firm. Elle est désormais financée sur 50 000 dollars. Une belle étape franchie, mais comme on le répète dans l’école :

“Valider un compte, ce n’est pas être rentable. Ce n’est que le début.”

Ce qui compte maintenant ? Gagner petit à petit, chaque jour. 100 dollars par jour, plusieurs comptes validés : c’est ça la vraie stratégie d’un trader pro. Pas besoin de chercher des milliers d’euros en un trade. L’objectif, c’est la régularité.


🔥 Les leçons clés de Déborah

Voici les grands enseignements de son parcours :

  • ✅ Apprendre à perdre sans exploser émotionnellement,

  • ✅ Trader dans de bonnes conditions, au calme, sans distraction,

  • ✅ Ne pas se précipiter : le parcours vers la rentabilité prend du temps,

  • ✅ Rester discipliné sur les horaires, les volumes, les règles,

  • ✅ Accepter que le plus dur… c’est soi-même.

“Je suis pressée d’être rentable, mais je sais que j’ai encore des étapes à franchir.”


🎙️ Écoute et passe à l’action

Déborah partage en détail son parcours, ses doutes, ses erreurs, ses réussites… et sa vision ultra authentique du métier de trader.

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